Si vous travaillez en Suisse tout en vivant en France, vous jouissez du meilleur des deux mondes à condition d’anticiper la question de la couverture santé ! Beaucoup de nouveaux frontaliers se retrouvent rapidement perdus face à la multitude d’options, aux différences entre la CMU et la LAMal, aux subtilités des complémentaires santé et à la complexité des démarches administratives.
Vigny Depierre, l’expertise frontalière au service de votre assurance santé
Pour les frontaliers, bénéficier d’un accompagnement personnalisé, c’est éviter les mauvaises surprises et profiter d’une tranquillité d’esprit au quotidien. Vigny Depierre, leader du courtage en assurance santé frontalier depuis plus de 45 ans, accompagne déjà plus de 30 000 particuliers dans le choix de leur régime maladie (CMU ou LAMal), la sélection de la mutuelle adaptée et la gestion de toutes les démarches.
Grâce à leur double implantation en France et en Suisse, les conseillers Vigny Depierre proposent un comparatif objectif, vous aident à analyser votre situation et vous orientent vers la solution la mieux adaptée à vos besoins et à ceux de votre famille. Que ce soit pour l’affiliation à la LAMal, le choix d’une mutuelle complémentaire, la protection prévoyance ou la préparation de la retraite, leur connaissance des problématiques frontalières garantit des conseils avisés et sur mesure. Vous n’aurez donc aucune difficulté pour dénicher la couverture santé pour frontalier la plus adaptée.
1ère erreur : choisir sa couverture santé frontalier à la légère
CMU française ou LAMal suisse ? Ce choix, souvent définitif, influence la qualité et le coût de vos remboursements des deux côtés de la frontière. La CMU séduit par sa simplicité, son coût parfois attractif pour les familles nombreuses et une couverture complète sur le territoire français. À l’inverse, la LAMal garantit un accès aux soins en Suisse et permet de bénéficier de la qualité du système de santé helvétique, tout en maintenant certains droits en France.
Or, chaque option a ses spécificités : l’âge, la composition familiale, le niveau de revenus, la fréquence des soins en Suisse ou en France ou encore les besoins particuliers (soins dentaires, optique, hospitalisation…) doivent être pris en compte. Si vous vous précipitez sans le conseil d’expert, vous risquez de choisir une solution inadaptée, souvent irréversible et de découvrir trop tard que les frais réels ne correspondent pas à son budget.
2e erreur : négliger l’importance d’une complémentaire santé dédiée aux frontaliers
La plupart des contrats de base ne couvrent pas certains frais importants, comme les soins dentaires, l’optique, les dépassements d’honoraires ou les chambres particulières en hôpital.
C’est ici qu’intervient la mutuelle santé dédiée aux frontaliers. Trop de nouveaux travailleurs transfrontaliers oublient qu’en Suisse, beaucoup de frais restent à charge. De ce fait, sans complémentaire adaptée, la facture a tendance à grimper rapidement en cas d’imprévu.
3e erreur : sous-estimer la complexité des démarches et des délais d’affiliation
Entre le droit d’option à exercer dans les 90 jours, la déclaration auprès des caisses françaises et suisses, les justificatifs à fournir et la coordination entre les deux systèmes, beaucoup de démarches peuvent devenir chronophages, voire source d’erreurs coûteuses.
Sous-estimer ces étapes, c’est risquer de perdre des droits, de subir des délais de carence, ou de se retrouver sans protection pendant une période de transition.